L’Instance vérité et dignité, créée pour faire la lumière sur les exactions de l’État tunisien pendant plus d’un demi-siècle, a entamé ses premières auditions publiques des victimes de la répression. Les témoignages de ceux qui ont subi les pires abus ont bouleversé l’assistance.

Le récit de l’assassinat du frère de Ridha Barakati, Nabil, militant communiste, mort sous la torture en mai 1987, a rappelé que la police de l’ex-président Bourguiba était tout aussi cruelle que celle de Ben Ali.

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