« La plaie ne s’est pas refermée, on n’a pas fait le deuil. On ne peut pas clore le dossier »
« La plaie ne s’est pas refermée, on n’a pas fait le deuil. On ne peut pas clore le dossier », a expliqué, de son côté, Ridha Barakati, le frère du communiste Nabil Barakati, torturé à mort en 1987, avant que son corps ne soit retrouvé près d’une voie ferrée, une balle dans la tête, un pistolet posé à ses côtés pour accréditer la thèse d’un suicide. Briser le silence, pourtant, ne suffit pas. La Tunisie cherche toujours les voies d’une justice transitionnelle propre à réhabiliter les victimes, à juger les bourreaux et à résoudre l’équation des réparations.
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